Le collectif de l’atelier d’écologie politique « Penser les transitions ».
écologie
C’est en partant des luttes concrètes que nous pourrons construire ensemble une écologie offensive. Quand est-ce que l’on s’y met ? Un appel de collectifs et militants écologistes à l’occasion de la journée d’action du 12 mars
Restitution vidéo de la rencontre du 24 février, organisée au Théâtre de l’Échangeur de Bagnolet, et animée par Jade Lindgaard et Josep Rafanell i Orra.
Catégories
“Pas de commun sans communauté”
Rencontre le jeudi 24 février, au Théâtre de L’Échangeur (Bagnolet), avec Geneviève Pruvost, autour de son livre “Quotidien politique. Féminisme, écologie, subsistance”, La Découverte (2021)
Entretien de la revue “Parades” avec Jade Lindgaard et Dolores Mijatovic, autour de la lutte pour la défense des jardins ouvriers d’Aubervilliers et au-delà
Reprendre et cultiver la terre en métropole. Recherche sur les pratiques à Paris, New York, Detroit et ailleurs, et réflexion sur les enjeux politique. Un ouvrage de Flaminia Paddeu
Restitution vidéo de la rencontre avec Jacques Rancière organisée le 25 septembre aux Murs à pêches de Montreuil par les Communaux et le Sens de l’Humus
Le 27 octobre, au Théâtre de l’Echangeur, dans le cadre du cycle de présentation des recherches organisé par Les Communaux, nous vous invitons à partager les travaux d’Olivier Hamant
Voici quelques questions, qui nous semble en résonance avec la pensée de Jacques Rancière, sur lesquelles nous aimerions pouvoir échanger avec lui à l’occasion de la rencontre sur écologie et politique que nous organisons le 25 septembre
L’association Le Sens de l’Humus et Les Communaux, s’associent pour inviter Jacques Rancière, le 25 septembre, à un moment d’échanges sur les nouvelles formes d’émergence du politique autour des pratiques d’écologie populaire.
De la critique des discours et politiques transitionnistes actuelles, la dénonciation de leur cynisme et le dévoilement de leurs fausses promesses, à l’inventer du vocabulaire d’une transition fondée sur le rejet sans concession du capitalisme néo-libéral
Des chercheur·e·s, enseignant·e·s, étudiant·e·s choisissent de se relier aux luttes, régénérer la recherche que d’autres veulent scléroser, d’ancrer leur soif de connaissances dans le mouvement de défense du vivant à travers des reprises de terres en communs