Les fascisme n’est pas ce qui vient du dehors du capitalisme, comme une effraction de la masse fusionnelle dans le paysage du contrat social et de ses libertés encadrées. Il est déjà présent dans les linéaments du libéralisme. Certes, des débris du fascisme historique réapparaissent aujourd’hui dans tous les paysages de la mondialisation. Mais le fascisme de notre époque, est avant tout celui de l’atomisation qui fait masse. Dont le corrélat est, aujourd’hui comme hier, la destruction de la communauté.